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Optimisation des dépôts particulaires

Dans le cadre d’études particulaires et en parallèle à l’étude de représentativité, nous réalisons des calculs de taux de rétention de particules qui correspond au dépôt de particules dans la sonde et dans les tuyauteries d'échantillonnage. On parle également de taux de transmission : sous l’effet de phénomènes de sédimentation, d’impaction ou encore de diffusion brownienne, une partie des particules captées viennent se déposer   sur les parois et entraînent une perte d’information entre ll point de prélèvement et l'équipement de mesure.

 

Afin de réaliser le calcul des dépôts, il faut avant tout définir un cheminement des canalisations réaliste et dont l'implantation ne posera pas de souci. Notre Bureau d'Etudes est souvent amené à concevoir et à optimiser les voies de prélèvement. Nous fournissons alors des vues isométriques que nous validons avec nos clients.

Nous paramétrons ensuite le logiciel de calcul qualifié par la norme ISO2889 en enregistrant les données aérauliques, de géométrie et climatiques pour ensuite extraire les résultats que nous analysons tronçon par tronçon. Cela permet de cibler les zones problématiques et d'étudier 2 leviers d'optimisation : le diamètre des tuyauteries et le débit de prélèvement.

 

Pour rendre ce calcul le plus fiable possible, nous y intégrons l'ensemble des pièces en contact avec l'air, y compris les pièces de raccordement, les chambres de mélange ou les diviseurs de flux.

 

Les résultats de nos études, couplés à la représentativité particulaire donnera le taux de perméance, critère qui arbitre au final la performance d’une ligne de prélèvement complète (sonde+tubing). Pour exemple, la valeur du taux de perméance minimal requise par la réglementation ISO2889 pour l'industrie nucléaire est de 50%.

Nos fiches techniques en téléchargement 

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Travaillons ensemble

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