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Qualification in situ des lignes d'échantionnage d'air

Qualification in situ de prélèvement

L'observation ou l'analyse d'une pollution atmosphérique requiert une stratégie de surveillance et de mesure bien réfléchie. En effet, méthodologie et équipements vont directement impacter la qualité des échantillons récoltés et donc le reflet de la qualité de l'air étudié.

 

Les équipements, pour diminuer au maximum leur effet sur les dépôts en paroi, doivent être conçus et fabriqués selon des règles précises : faible rugosité, continuité des diamètres intérieurs, longueurs et inclinaisons des tuyauterie optimisées… Certaines réglementations imposent de tester la qualité des prélèvements après installation de ces dispositifs. Il convient alors, lors de tests de qualification in situ, d'injecter dans le milieu étudié et dans des conditions aérauliques représentatives, un traceur équivalant aux polluants potentiels et de mesurer la quantité qui arrive jusqu'au dispositif de comptage.

 

Nous ne réalisons pas ce type d’essai car nous pensons que nous ne pouvons être juge et parti. En revanche, nous connaissons parfaitement les méthodologies de ces essais et la rigueur qui doit apporter pour éviter des biais qui fausseraient les résultats.

 

La mise en œuvre des traçages gazeux (à l’hélium par exemple) est une opération bien maitrisée car les gaz étant très légers se dispersent très rapidement. En revanche, pour le traçage particulaire, la captation des aérosols est plus complexe car sujette aux effets inertiels qui modifient leur trajectoire et peuvent, si l’essai est réalisé sans avoir une méthodologie adaptée, fausser complètement les résultats.

 

C’est pourquoi, afin d’éviter ces risques fréquents lors des tests de qualification, nous pouvons vous accompagner pour sécuriser la méthodologie et les équipements que le prestataire choisi utilisera.

LE SAVIEZ-VOUS: les tests de qualification des lignes de prélèvement sur site nucléaire se font avec des particules dont le diamètre aérodynamique (Da) est de 10µm (PM10). Pourquoi ? parce que cette taille est la taille la plus grosse des aérosols qui peuvent atteindre et affecter les cellules pulmonaires. 

Nos fiches techniques en téléchargement 

Travaillons_ensemble.jpeg

Travaillons ensemble

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